Les cinquièmes Scènes sauvages, c’est terminé!

 

Et je dois dire que nous sommes toutes et tous particulièrement fiers de cette édition, tant elle a été riche d’émotions et de surprises, de rencontres et de découvertes. Merci! Spectateurs et spectatrices, artistes, bénévoles, merci d’avoir été là, merci d’avoir osé, d’avoir une fois de plus fait les Scènes sauvages!

Merci pour la fidélité!

Merci pour la curiosité!

Merci pour la patience et pour la prévenance!

Merci pour le désir, et merci pour le plaisir!

Mille et une fois, merci.

 

Pour la quatrième année consécutive, vous êtes venus encore plus nombreux, et avec plus de 1500 entrées le festival réalise en 2023 sa plus belle fréquentation depuis sa création.

Vos présences, vos amitiés honorent le travail de nos équipes.

Elles confortent aussi plus que jamais la pertinence du projet des Scènes sauvages, et l’idée selon laquelle les territoires regorgent d’espaces propices au déploiement de projets culturels d’envergure. Ces projets doivent bien sûr continuer à être accompagnés par l’Etat et les collectivités: leur soutien est même plus nécessaire que jamais. Mais avant toute chose, ce sont bien vos gages de confiance qui valident la nécessité de continuer à créer et diffuser des spectacles dans des lieux qui ne sont pas des théâtres. 

Et alors que nous travaillons désormais à l’invention de la prochaine et sixième édition du festival, nous affirmons que cette nécessité, nous la conjuguerons toujours à la conviction selon laquelle le théâtre doit être fait par toutes et tous, pour toutes et tous, sans distinction d’origine, de race, de classe, d’orientation sexuelle, d’identité de genre, ou de religion. Parce qu’en dépit de la peur en nous quotidiennement instillée, nous savons que l’horizon d’une société respectueuse du vivant, égalitaire et accueillante, demeure le seul désirable.

 

Courage!

 

Charles Zévaco, directeur des Scènes sauvages.

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